Spectaculaire activité de notre page Facebook : malgré le silence des médias, l’UPR continue son irrésistible ascension
Nous présentons ci-dessous des tableaux de statistiques, qui dressent la liste – au 22 mars à 01h00 – des pages Facebook des 58 principaux responsables politiques français, en fonction de leur activité au cours de la semaine écoulée, par ordre décroissant des « personnes qui en parlent ».
Mais il faut rappeler auparavant que les pages Facebook présentent deux nombres, dans le bandeau en haut du mur, que tous les internautes peuvent voir : le nombre de personnes qui « aiment » la page et le nombre de « personnes qui en parlent ».
Ces deux nombres sont porteurs de 2 enseignements différents.
Pour bien en comprendre tout le sens, cela mérite une explication préalable assez précise.
CE QUE MESURE LE NOMBRE DES PERSONNES QUI « AIMENT » LA PAGE FACEBOOK D’UN RESPONSABLE POLITIQUE
Le nombre de personnes qui « aiment » la page est le nombre cumulé de tous les internautes qui ont cliqué « J’aime » sur la page depuis la création de celle-ci (et qui ne l’ont pas “décliqué” ensuite).
Ce nombre témoigne donc de la notoriété accumulée par le responsable politique.
La règle générale qui s’en dégage est que le nombre de personnes qui « aiment » la page d’un responsable politique dépend de 3 facteurs :
a) – l’intensité de la médiatisation
b) – l’ancienneté de la médiatisation
c) – l’intérêt global – positif ou négatif – que les internautes portent globalement sur le responsable politique (Il est important en effet de noter que les internautes qui cliquent « J’aime » ne le font pas toujours parce qu’ils apprécient le responsable en question ; une minorité plus ou moins significative le fait pour mieux suivre les déclarations dudit responsable).
C’est le mélange de ces 3 facteurs qui explique que les 5 responsables politiques français vivants qui ont les pages qui comptent le plus de « J’aime » sont, par ordre décroissant :
- Nicolas Sarkozy : 808 597 J’aime
- François Hollande : 375 624 J’aime
- Jean-Luc Mélenchon : 141 983 J’aime
- Marine Le Pen : 118 196 J’aime
- Jean-Marie Le Pen : 34 616 J’aime
- Jacques Chirac : 34 286 J’aime
- François Fillon : 32 588 J’aime
- François Bayrou : 30 548 J’aime
À cet égard, le nombre de personnes qui « aiment » la page officielle François Asselineau – Union Populaire Républicaine – se situe entre deux extrêmes.
Avec 8 287 J’aime le 22 mars à 01h00, ce nombre ne représente que :
- 1,0 % du nombre de personnes qui « aiment » la page de Nicolas Sarkozy
- 2,2 % du nombre de personnes qui « aiment » la page de François Hollande
- 5,8 % du nombre de personnes qui « aiment » la page de Jean-Luc Mélenchon
- 7,0 % du nombre de personnes qui « aiment » la page de Marine Le Pen
- 25,4 % du nombre de personnes qui « aiment » la page de François Fillon
- 27,1 % du nombre de personnes qui « aiment » la page de François Bayrou
Cette faiblesse est évidemment à mettre en regard du fait que toutes ces personnalités sont ultra-médiatisées, alors que François Asselineau n’a jamais été interrogé sur quasiment aucun grand média du pays.
Cependant, ce nombre de 8 287 « J’aime » recueilli par la page Facebook officielle François Asselineau – Union Populaire Républicaine (https://www.facebook.com/upr.francoisasselineau) le 22 mars à 01h00 représente quand même :
- 77,7 % du nombre de personnes qui « aiment » la page du Premier ministre Jean-Marc Ayrault
- 102,4 % du nombre de personnes qui « aiment » la page du ministre des finances Pierre Moscovici
- 1,7 fois le nombre de personnes qui « aiment » la page du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius
- etc.
En somme, notre page recueille un nombre de « J’aime » d’un ordre de grandeur comparable, et souvent supérieur, au nombre de « J’aime » de la plupart des pages des ministres du gouvernement actuel, ainsi que de nombreux responsables très médiatisés.
Ce constat est en soi très surprenant compte tenu de notre absence quasi-totale d’accès aux grands médias du pays.
Cette force est évidemment à rapprocher de la notoriété en très rapide croissance de l’UPR sur Internet. Ce nombre de 8287 « J’aime », qui fait jeu presque égal avec le nombre de « J’aime » de la page du Premier ministre, aurait été absolument impossible à obtenir :
- si le président de l’UPR n’avait pas sillonné la France depuis 6 ans pour y faire des conférences,
- si ces conférences n’avaient pas été relayées par Internet,
- et si ces analyses n’apparaissaient pas rétrospectivement comme de plus en plus prémonitoires, au fur et à mesure que le temps s’écoule et que les événements les confirment implacablement.
Comme on le voit, le nombre de « J’aime » d’une page est donc ambivalent.
S’il témoigne bien entendu de la notoriété globale d’un responsable, il ne permet pas bien de distinguer ce qui relève, dans cette notoriété, d’une adhésion réelle aux idées et au programme du responsable d’une part, et d’un vague réflexe pavlovien suscité par le matraquage médiatique, sans adhésion réelle et profonde au programme, d’autre part.
CE QUE MESURE LE NOMBRE DES PERSONNES QUI « PARLENT » DE LA PAGE FACEBOOK D’UN RESPONSABLE POLITIQUE
Selon la terminologie Facebook, le nombre de « personnes qui en parlent » correspond au nombre de personnes uniques qui, au cours de la semaine précédente (donc, ici, du 15 au 21 mars), ont :
- cliqué “J’aime” sur l’ensemble de la page
- publié un article ou un texte sur le mur de la page
- cliqué “J’aime” sur l’une des publications de la page
- commenté ou partagé l’une des publications de la page
- répondu à un événement créé par la page
- mentionné la page
- identifié la page sur une photo.
Le nombre de personnes qui « parlent » d’une page Facebook témoigne donc d’un phénomène tout à fait différent du nombre de “J’aime” de la page. Cette fois-ci, il s’agit d’un indice, non pas de la notoriété accumulée par le responsable politique, mais de l’activité réelle qu’il suscite pendant une semaine donnée.
Le nombre de personnes qui « parlent » d’une page Facebook est donc très intéressant et plus facile à interpréter que le cas précédent. Il ne mesure pas une notoriété sur le long terme, et qui peut être en partie créée artificiellement par un matraquage médiatique ; il mesure fondamentalement :
- le niveau d’activité réelle,
- donc le degré d’adéquation entre l’actualité et les positions du responsable politique,
- et aussi le niveau d’intérêt et le degré d’enthousiasme et de militantisme suscité par les positions de ce responsable pendant la période considérée.
Dès lors, il est tout à fait intéressant de comparer le niveau d’activité des pages Facebook des principaux responsables politiques, afin de comparer l’audience réelle et actuelle de tous ces responsables sur un média identique et selon un mode de mesure normalisé. C’est le tableau qui suit, établi à la date du 22 mars 2013 – 01h00
LE CLASSEMENT DES PAGES FACEBOOK DES PRINCIPAUX RESPONSABLES POLITIQUES FRANÇAIS SELON LEUR NIVEAU D’ACTIVITÉ (AU COURS DE LA SEMAINE DU 15 AU 21 MARS 2013)
Nous avons consulté, le 22 mars à 01h00, les pages Facebook de tous les principaux responsables politiques français, et notamment :
- tous les chefs de parti,
- tous les candidats à l’élection présidentielle de 2012
- et tous les ministres du gouvernement actuel (ministres délégués et secrétaires d’État exclus)
En cas de pluralité de pages, nous avons systématiquement retenu la page la plus active.
Nous avons procédé à ce classement par ordre décroissant d’activité, mesurée par le nombre des « personnes qui en parlent » (c’est le 2ème nombre) :
Plus de 5000 personnes en parlent
- Jean-Luc Mélenchon : 141 983 J’aime · 7 141 personnes en parlent
De 2501 à 5000 personnes en parlent
- Marine Le Pen : 118 196 J’aime · 3 362 personnes en parlent
- François Asselineau : 8 287 J’aime · 3 205 personnes en parlent
De 1001 à 3000 personnes en parlent
- François Fillon : 32 588 J’aime · 2 547 personnes en parlent
- Alain Juppé : 13 863 J’aime · 1 873 personnes en parlent
- Najat Vallaud-Belkacem : 25 249 J’aime · 1 853 personnes en parlent
- François Bayrou : 30 548 J’aime · 1 525 personnes en parlent
- Jean-François Copé : 29 446 J’aime · 1 369 personnes en parlent
- François Hollande : 375 624 J’aime · 1 360 personnes en parlent
De 501 à 1000 personnes en parlent
- Nicolas Sarkozy : 808 597 J’aime · 999 personnes en parlent
- Pierre Laurent : 9 950 J’aime · 993 personnes en parlent
- Nathalie Kosciusko Morizet : 15 781 J’aime · 769 personnes en parlent
- Arnaud Montebourg : 24 744 J’aime · 763 personnes en parlent
- Jean-Marc Ayrault : 10 657 J’aime · 584 personnes en parlent
De 101 à 500 personnes en parlent
- Nicolas Dupont-Aignan : 14 716 J’aime · 483 personnes en parlent
- Pierre Moscovici : 8 091 J’aime · 467 personnes en parlent
- Jean-Marie Le Pen : 34 616 J’aime · 375 personnes en parlent
- Christian Jacob : 5 882 J’aime · 368 personnes en parlent
- Laurent Fabius : 4 844 J’aime · 354 personnes en parlent
- Laurent Wauquiez : 9 255 J’aime · 332 personnes en parlent
- Cécile Duflot : 13 257 J’aime · 331 personnes en parlent
- Victorin Lurel : 5 774 J’aime · 286 personnes en parlent
- Christiane Taubira : 20 842 J’aime · 267 personnes en parlent
- Corinne Lepage : 5 591 J’aime · 200 personnes en parlent
- Valérie Pécresse : 9 891 J’aime · 153 personnes en parlent
- Eva Joly : 28 883 J’aime · 145 personnes en parlent
- Bernard-Henri Lévy : 12 141 J’aime · 132 personnes en parlent
- Manuel Valls : 16 034 J’aime · 115 personnes en parlent
- Marylise Lebranchu : 6 057 J’aime · 113 personnes en parlent
- Jacques Cheminade : 1 951 J’aime · 102 personnes en parlent
- Daniel Cohn-Bendit : 13 670 J’aime · 101 personnes en parlent
De 10 à 100 personnes en parlent
- Philippe Poutou : 5 690 J’aime · 91 personnes en parlent
- Jacques Chirac : 34 286 J’aime · 89 personnes en parlent
- José Bové : 8 912 J’aime · 88 personnes en parlent
- Dominique Strauss Kahn : 11 993 J’aime · 79 personnes en parlent
- Bruno Gollnisch : 8 868 J’aime · 72 personnes en parlent
- Marielle de Sarnez : 2 286 J’aime · 67 personnes en parlent
- Marisol Touraine : 7 854 J’aime · 64 personnes en parlent
- Christine Boutin : 4 252 J’aime · 51 personnes en parlent
- Vincent Peillon : 4 978 J’aime · 37 personnes en parlent
- Michel Rocard : 1 193 J’aime · 35 personnes en parlent
- Dominique de Villepin : 21 576 J’aime · 28 personnes en parlent
- Delphine Batho : 649 J’aime · 27 personnes en parlent
- Jean-Marc Governatori : 689 J’aime · 23 personnes en parlent
- Luc Chatel : 8 023 J’aime · 15 personnes en parlent
- Jean-Pierre Raffarin : 863 J’aime · 14 personnes en parlent
- Jean-Yves Le Drian : 403 J’aime · 14 personnes en parlent
- Philippe de Villiers : 2 332 J’aime · 10 personnes en parlent
Moins de 10 personnes en parlent
- Lionel Jospin : 2 283 J’aime · 7 personnes en parlent
- Michel Sapin : 663 J’aime · 7 personnes en parlent
- Stéphane Le Foll : 464 J’aime · 7 personnes en parlent
- Nathalie Arthaud : 1 322 J’aime · 4 personnes en parlent
- Aurélie Filipetti : 365 J’aime · 3 personnes en parlent
- Edouard Balladur : 344 J’aime · 3 personnes en parlent
- Valérie Fourneyron : 186 J’aime · 3 personnes en parlent
- Sylvia Pinel : 133 J’aime · 3 personnes en parlent
- Geneviève Fioraso : 279 J’aime · 2 personnes en parlent
- Nicole Bricq : 186 J’aime · 2 personnes en parlent
Conclusion : Sur la période du 15 au 21 mars 2013, la page officielle François Asselineau – Union Populaire Républicaine (https://www.facebook.com/upr.francoisasselineau) s’est donc hissée au 3e rang du niveau d’activité parmi les pages Facebook des 58 responsables politiques énumérés.
Quoi que moitié moins active que la page Facebook de Jean-Luc Mélenchon, notre page est environ :
- aussi active que celle de Marine Le Pen, (environ 5% de moins)
- 2 fois plus active que celles de François Bayrou, de Jean-François Copé et du Président de la République François Hollande,
- 3 fois plus active que celle de Nicolas Sarkozy,
- 4 fois plus active que celle d’Arnaud Montebourg,
- 5 fois plus active que celle du Premier ministre Jean-Marc Ayrault,
- 6 fois plus active que celle du ministre des finances Pierre Moscovici,
- 8 fois plus active que celle du ministre des affaires étrangères Laurent Fabius,
- 20 fois plus active que celle d’Eva Joly,
- 105 fois plus active que celle de Dominique de Villepin,
- 1467 fois plus active que celle de Geneviève Fioraso…
LE CLASSEMENT DES PAGES FACEBOOK DES PRINCIPAUX RESPONSABLES POLITIQUES FRANÇAIS SELON LE DEGRÉ DE DYNAMISME ET DE MOTIVATION DES INTERNAUTES SYMPATHISANTS
(AU COURS DE LA SEMAINE DU 15 AU 21 MARS 2013)
Pour affiner l’analyse, il est également très instructif de procéder à un calcul simple : celui qui consiste à diviser, pour chaque page, le nombre de « personnes qui en parlent » par le nombre de personnes qui « aiment » la page. Ce ratio permet en effet de se faire une excellente idée sur le degré de motivation et de dynamisme des internautes par rapport à la page qu’ils déclarent « aimer ».
En effet, si ce ratio est très faible, cela signifie que l’écrasante majorité des internautes qui ont cliqué « J’aime » se sont arrêtés là, et qu’ils restent totalement passifs et inertes ensuite. Ils ne participent à aucun débat, ne postent aucun message sur le mur, n’approuvent rien.
Pour une personnalité très connue (François Hollande par exemple), le nombre de « personnes qui en parlent » peut être significativement élevé (1 360 en l’espèce) mais cela ne doit pas faire trop illusion : car comme il y a 375 624 « J’aime », cela signifie que seuls 0,36 % de ceux qui ont cliqué « J’aime » restent ensuite actifs et mobilisés. Autrement dit : rien !
A contrario, plus le ratio « personnes qui en parlent » / « personnes qui aiment » est élevé, et plus cela témoigne d’un fort degré de motivation et de dynamisme des internautes sympathisants.
D’où l’intérêt de procéder au calcul de ce ratio pour les 58 pages de responsables politiques énumérés, et de les classer ensuite, par ordre décroissant de dynamisme et de motivation.
Ce qui donne le résultat suivant, le 22 mars à 01h00 :
- François Asselineau : 38,68 %
- Alain Juppé : 13,51 %
- Pierre Laurent: 9,98 %
- François Fillon : 7,82 %
- Najat Vallaud-Belkacem : 7,34 %
- Laurent Fabius : 7,31 %
- Christian Jacob : 6,26 %
- Pierre Moscovici : 5,78 %
- Jean-Marc Ayrault : 5,48 %
- Jacques Cheminade : 5,23 %
- Jean-Luc Mélenchon : 5,03 %
- François Bayrou : 4,99 %
- Victorin Lurel : 4,95 %
- Nathalie Kosciusko Morizet : 4,87 %
- Jean-François Copé : 4,65 %
- Delphine Batho : 4,16 %
- Laurent Wauquiez : 3,59 %
- Jean-Yves Le Drian : 3,47 %
- Nicolas Dupont-Aignan : 3,28 %
- Arnaud Montebourg : 3,08 %
- Michel Rocard : 2,93 %
- Marielle de Sarnez : 2,93 %
- Marine Le Pen : 2,84 %
- Cécile Duflot : 2,50 %
- Sylvia Pinel : 2,26 %
- Marylise Lebranchu : 1,87 %
- Luc Chatel : 1,87 %
- Jean-Pierre Raffarin : 1,62 %
- Valérie Fourneyron : 1,61 %
- Philippe Poutou : 1,60 %
- Valérie Pécresse : 1,54 %
- Stéphane Le Foll : 1,50 %
- Dominique de Villepin : 1,30 %
- Christiane Taubira : 1,28 %
- Bernard-Henri Lévy : 1,09 %
- Jean-Marie Le Pen : 1,08 %
- Nicole Bricq : 1,07 %
- Michel Sapin : 1,07 %
- Edouard Balladur : 0,87 %
- Aurélie Filipetti : 0,82 %
- Marisol Touraine : 0,81 %
- Bruno Gollnisch : 0,81 %
- Vincent Peillon : 0,74 %
- Daniel Cohn-Bendit : 0,74 %
- Manuel Valls : 0,72 %
- Geneviève Fioraso : 0,72 %
- Dominique Strauss Kahn : 0,66 %
- Eva Joly : 0,50 %
- François Hollande : 0,36 %
- Lionel Jospin : 0,31 %
- Nathalie Arthaud : 0,30 %
- Jacques Chirac : 0,26 %
- Nicolas Sarkozy : 0,12 %
Conclusion : Sur la période du 15 au 21 mars 2013, la page officielle de François Asselineau – Union Populaire Républicaine (https://www.facebook.com/upr.francoisasselineau) s’est donc hissée au 1e rang de tous les responsables politiques français en termes de degré de dynamisme et de motivation des internautes sympathisants.
Mieux même, le ratio de 38,7 % observé sur la page officielle de François Asselineau – Union Populaire Républicaine est absolument exceptionnel, sans aucune commune mesure avec ce que l’on constate sur aucune autre page Facebook d’aucun autre responsable politique.
Ce ratio est par exemple 7,7 fois supérieur à celui observé sur la page Facebook de Jean-Luc Mélenchon, et 13,7 supérieur à celui observé sur celle de Marine Le Pen.
Ce résultat inouï témoigne de l’extravagante injustice du silence médiatique qui frappe l’existence même de l’UPR dans les grands médias nationaux. Et de la frustration et de la colère que ce silence engendre chez un nombre croissant d’internautes.
CONCLUSION : L’UPR EST EN TRAIN DE RÉALISER UNE PERCÉE OBJECTIVEMENT EXCEPTIONNELLE
Naturellement, certains estimeront qu’il est contestable que l’UPR commémore ses propres succès.
Mais, comme nous avons déjà été conduits à répondre à cette critique, si l’UPR ne parle pas d’elle-même et de ses résultats, qui le fera ?
Du reste, les statistiques présentées ici ont l’immense mérite de pouvoir être vérifiées par tout le monde : il suffit que chacun aille examiner les 58 pages Facebook pour en juger (sachant que les nombres donnés ici n’étaient valables que le 22 mars à 01h00 et qu’ils évoluent sans cesse).
En outre, il est non seulement conforme à notre éthique de présenter à nos lecteurs les faits dans leur exactitude, mais il est extrêmement utile, aussi, de donner à nos adhérents et sympathisants des éléments irréfutables qui leur confirment ce qu’ils mesurent sur le terrain. À savoir que la notoriété de notre mouvement croît à toute allure à travers la France et que nous suscitons de façon très générale une bienveillance très fortement croissante auprès de la majorité des gens qui nous découvrent.
C’est d’ailleurs ce que révèlent les courbes statistiques fournies par Facebook :
- depuis un mois, le nombre de « personnes qui en parlent » a grimpé continuellement, pour passer de 962 à 3205.
- quant au nombre de « personnes atteintes » par nos publications (du fait des retransmissions d’articles effectuées par nos adhérents, sympathisants et lecteurs), il a bondi de 19 827 à 94 670 !
Nous avons des motifs d’autant plus légitimes d’être satisfaits de cette percée que tout observateur impartial ne peut, objectivement, que la juger exceptionnelle.
Car il est exceptionnel qu’un responsable politique, et le mouvement qu’il a créé à partir de zéro, aient atteint un tel degré de notoriété et de dynamisme politiques, alors même qu’il n’a aucune source de financement public et que tous les grands médias refusent continuellement d’évoquer, ne serait-ce que son existence, depuis 6 ans.
Nous rappelons en effet qu’en dépit de nos sollicitations, et en dépit de ses nombreux déplacements en province, François Asselineau n’a jamais eu droit au moindre entretien sur la quasi-totalité des grands médias du pays :
- ni sur TF1,
- ni sur France 2,
- ni sur France 3 (sauf quelques minutes une fois dans l’émission de Taddeï),
- ni sur Canal+,
- ni sur Arte,
- ni sur LCI,
- ni sur France Inter,
- ni sur France Info (sauf une seule fois, pour un seul passage de 4’52” pendant la campagne présidentielle),
- ni sur France Culture,
- ni sur Europe 1,
- ni sur RTL,
- ni sur RMC,
- ni dans Le Figaro,
- ni dans Le Monde,
- ni dans Le Parisien,
- ni dans Ouest France,
- ni dans Le Courrier de l’Ouest,
- ni dans Le Maine libre,
- ni dans Presse-Océan,
- ni dans La Presse de la Manche,
- ni dans Le Dauphiné libéré,
- ni dans Le Progrès,
- ni dans L’Est républicain,
- ni dans Les Dernières Nouvelles d’Alsace,
- ni dans L’Alsace-Le Pays,
- ni dans Le Journal de Saône et Loire,
- ni dans Vosges Matin,
- ni dans Le Journal de la Haute-Marne,
- ni dans Sud Ouest,
- ni dans Le Midi libre,
- ni dans L’Indépendant,
- ni dans La Charente libre,
- ni dans La République des Pyrénées,
- ni dans Centre Presse,
- ni dans L’Éclair,
- ni dans La Dordogne libre,
- ni dans La Provence,
- ni dans Nice-Matin,
- ni dans L’Union – L’Ardennais,
- ni dans Var-Matin,
- ni dans Paris-Normandie,
- ni dans Corse-Matin,
- ni dans L’Est-Éclair,
- ni dans Le Havre libre,
- ni dans Le Havre Presse – Le Progrès de Fécamp,
- ni dans Libération Champagne,
- ni dans La Voix du Nord,
- ni dans Nord Littoral,
- ni dans Le Courrier picard,
- ni dans La Montagne,
- ni dans Le Populaire du Centre,
- ni dans Le Berry républicain
- ni dans Le Journal du Centre,
- ni dans L’Yonne républicaine,
- ni dans L’Écho républicain,
- ni dans La République du Centre,
- ni dans La Nouvelle République du Centre-Ouest,
- ni dans Centre Presse Poitiers,
- ni dans La Dépêche du Midi
- ni dans La Nouvelle République des Pyrénées
- ni dans Le Petit Bleu de Lot-et-Garonne
- ni dans L’Éveil de la Haute-Loire
- ni dans Le Télégramme
- ni dans Le Républicain lorrain
- ni dans L’Écho du Centre
- ni dans La Marseillaise – L’Hérault du jour
- ni dans Les Échos,
- ni dans L’Express,
- ni dans Le Point,
- ni dans le Nouvel Observateur,
- ni dans Marianne,
- ni dans Paris-Match,
- ni dans aucun magazine “people”,
- ni dans les journaux gratuits (Métro, 20 minutes…)
Un exemple du “2 poids 2 mesures” des médias français à l’encontre de notre mouvement. Alors que l’UPR a été créée il y a 6 ans, alors que François Asselineau a présenté sa candidature à l’élection présidentielle et un programme extrêmement élaboré pendant 5 heures le 3 novembre 2011, alors que le nombre de nos adhérents, en croissance exponentielle, a dépassé les 2 590 (au 21 mars), les grands médias français conservent le silence le plus absolu sur notre existence et refusent de répondre à nos sollicitations.
En revanche, le nouveau “Parti anti-euro” allemand, lancé il y a seulement 1 semaine, a bénéficié d’une très grosse couverture médiatique dans tous nos médias. Le blog du correspondant du journal Le Monde en Allemagne a fait ainsi remarquer, le 19 mars 2013, que ce parti revendique déjà 2 700 adhérents… ce qui est presque exactement le même nombre d’adhérents que l’UPR ! Le correspondant du Monde insiste aussi sur le fait que ses adhérents “viennent de tous les partis”, ce qui est aussi l’une des caractéristiques de l’UPR.
Lorsque l’on sait que nous avons enregistré plusieurs dizaines de connexions en provenance du Journal Le Monde sur notre site Internet au cours du seul mois de janvier 2013, il est permis de se demander pourquoi le quotidien de référence français refuse à ce point de faire état de l’existence de l’UPR, dont il éprouve pourtant tellement le besoin de venir consulter secrètement les analyses. Serait-il devenu un adepte de la politique de l’autruche ?
Dans ces conditions, – oui ! -, le phénomène politique qu’est en train de créer l’UPR est authentiquement exceptionnel.
Et tous les journalistes politiques des grands médias le savent d’ailleurs très bien.
Pourquoi, sinon, seraient-ils toujours plus nombreux à venir s’inscrire spontanément sur notre fil Twitter ?
Pourquoi, sinon, viendraient-ils consulter régulièrement notre site officiel, comme le relevé statistique de consultations nous le révèle dès lors que la connexion émane d’entreprises ou d’institutions ?
Il est utile de rappeler ici que l’éthique de la profession de journaliste a été précisée dans la Charte de Munich, “Déclaration des devoirs et des droits des journalistes” signée le 24 novembre 1971, qui demande à chaque journaliste de s’astreindre à :
- « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité » (Art. 1)
- « Ne pas supprimer les informations essentielles » (Art. 2)
- « Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste » (Art.9)
Il est donc temps, pour les grands médias de notre pays, de « respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », de « ne pas supprimer les informations essentielles » et de « ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ».
Il est donc temps, pour les grands médias de notre pays, de donner désormais à l’UPR et à son président un accès raisonnable à leurs antennes, à leurs studios, à leurs journaux et magazines. Un accès conforme à la force des quelque 2 600 adhérents que nous représentons et dont le nombre s’accroit rapidement.
Bureau National de l’UPR