Retour aux fondamentaux de l’extrême-droite
« RETOUR AUX FONDAMENTAUX » DE L’extrême-DROITE : Mme LE PEN NE DIT PLUS UN MOT CONTRE L’EURO ET FAIT HARO CONTRE LES immigrés ET CONTRE L’ISLAM
Ce n’est pas moi qui le dis mais Mme Le Pen elle-même qui l’avoue : elle dit être revenue à ses “fondamentaux”, selon la formule qu’elle a elle-même imaginée à la “une” des journaux. Et elle lance : « Je vais encore choquer les belles âmes et les bobos. Si l’insécurité progresse, c’est que l’immigration monte. »
Décidément, le Temps révèle tout et fait mettre bas les masques.
Mme Le Pen, qui refuse toujours bec et ongles de proposer aux Français de mettre en application l’article 50 pour sortir de l’UE et de l’euro, revient comme prévu sur les thématiques classiques de l’extrême-droite : haro contre contre l’immigration et fixation sur la viande hallal dans les cantines.
Bien entendu, François Hollande exulte et en profite pour affirmer que Nicolas Sarkozy « chasse sur les terres du Front national en tenant un discours de plus en plus marqué à droite. ».
CONCLUSION
L’objectif de toute cette agitation lepéniste est toujours le même : salir la souveraineté nationale, amalgamer les problèmes de l’UE et de l’euro avec une rhétorique fascisante, et remettre le clivage droite-gauche sur le devant de la scène.
Conformément à sa “feuille de route”, et comme l’a fait son père pendant 3 décennies, Mme Le Pen s’emploie donc pour la énième fois à diviser vicieusement les Français. Objectif ? Souffler sur les braises du ““Choc des Civilisations”, assurer l’élection de François Hollande et perpétuer le système qu’elle fait semblant de combattre.
Heureusement que l’UPR est là. Grâce à nous, et malgré le soutien massif des médias de masse, la capacité de nuisance du gang Le Pen va irrémédiablement s’effondrer au cours des mois et des années qui viennent. L’UPR est certes encore petite et jeune mais mais nos analyses à l’impact grandissant vont peu à peu permettre à 15 % de Français de prendre conscience du rôle réel du FN et de s’en détourner. En particulier lorsqu’ils seront confrontés à la réalité des résultats du second tour de l’élection présidentielle.