Christine LAGARDE, simple porte-parole de Goldman Sachs
Comme le montre cette dépêche, Mme Lagarde ne fait que réciter les notes de Godman Sachs, la banque qui dirige de plus en plus le monde occidental (cf. la nomination de Mario Draghi, ex-vice président de Goldman Sachs, à la tête de la BCE en nnovembre prochain). En tout cas, Mme Lagarde vient de faire plonger la Générale.
http://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRPAE7880FA20110909?sp=true
À noter que, selon les analyses de Goldman Sachs : “dans l’hypothèse d’un choc souverain, 38 banques auraient besoin de 30 à 92 milliards d’euros de capitaux”….
L’impudence des banquiers est désormais sans limite.