Pourquoi avons-nous choisi de nommer notre parti « Union Populaire Républicaine » (UPR) ?
François Asselineau a créé l’UPR en peu de temps en 2007, le nom qui a été retenu pour le parti nous semblait à la fois acceptable par tout le monde et bien représentatif de ce que nous sommes.
- Le mot « Union » dit bien ce qu’est l’UPR : une union au-dessus du clivage droite-gauche.
- Le mot « Populaire » dit bien notre philosophie : nous sommes pour la souveraineté du peuple contre la souveraineté céleste.
- Le mot « Républicaine » dit bien notre idéal : le rétablissement et la mise en pratique des grandes valeurs de la République.
Sur le moment, personne n’a trouvé à redire. Mais après que les notices de François Asselineau et de l’UPR nous ont été refusées sur l’encyclopédie Wikipédia en français (sur cette « affaire », voir notamment cet article), une notice a été mise en ligne sur un parti de l’entre-deux-guerres portant le même nom, un parti que tout le monde avait oublié. C’est un hasard de notre part et une possible malveillance de la part de la ou des personnes qui ont proposé la publication d’une notice sur un parti dont personne n’avait entendu parler depuis longtemps.
Par ailleurs, et conformément à la fable de La Fontaine « Le Meunier, son Fils, et l’Âne », il apparaît que quoi que l’on propose, on fait des mécontents. Il en est des noms comme des logos. Il apparaît aussi que beaucoup de noms ou d’acronymes ont déjà été utilisés. D’ailleurs, certains royalistes nous ont reproché d’utiliser le mot « républicaine » et des gens de droite nous ont dit que le mot « populaire » faisait trop vulgaire, voire communiste ! Si nous avions choisi « Union Nationale Républicaine », certains auraient tiqué sur l’adjectif « Nationale », en y voyant une marque de nationalisme et d’extrême droite. Si nous avions choisi « Union Pour la France », certains auraient objecté que ce parti existait déjà et que l’absence de toute référence à la République était louche. Etc., etc.
Au total, le nom d’un parti est finalement une chose assez secondaire dans la mesure où les mots qu’il utilise sont assez passe-partout, ce qui est bien le cas de l’UPR. Ce qui compte, ce sont les analyses que nous faisons, notre Charte fondatrice, notre programme, l’honnêteté et la sincérité de nos responsables et de nos adhérents. Il serait dommage qu’un simple nom, qui a été choisi sans aucune arrière-pensée, puisse dissuader des personnes de s’intéresser à l’UPR.