Le FN, très inquiet par la montée en puissance de la candidature de François Asselineau dans le Lot-et-Garonne, en est réduit à calomnier l’UPR
Communiqué
Dans un article paru dans le journal Sud Ouest (30 mai 2013), Michel Guiniot, membre du bureau politique du Front National, croit habile de qualifier François Asselineau, candidat de l’UPR à la législative partielle du Lot-et-Garonne, de « sous-marin de l’UMP ».
Cette calomnie puérile trahit un profond désarroi dans les rangs du FN devant l’irrésistible montée en puissance de l’UPR. Si les plus hauts dirigeants du parti d’extrême droite font savoir qu’ils comptent s’impliquer personnellement dans cette campagne, c’est parce qu’ils comprennent le formidable pouvoir d’attraction que représente notre mouvement. Alliance de tous les Français, de droite, du centre et de gauche, qui veulent sauver la France du chaos en se fondant sur les idéaux républicains et sur le programme du Conseil National de la Résistance de 1944, l’UPR est l’antithèse même du Front National, dont les 40 années d’existence n’ont fait que diviser les Français.
Depuis sa fondation le 25 mars 2007, l’UPR n’a jamais varié dans ses analyses et ses propositions. Elles sont indispensables à la reconquête de notre indépendance nationale, sans laquelle il n’y a pas de démocratie : la sortie de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.
Qui pourrait penser, par conséquent, que l’UPR puisse avoir un quelconque lien avec l’UMP, comme avec le PS, deux partis européistes et atlantistes qui ne cessent de mentir aux Français sur la vraie nature de la « construction européenne », qui ont violé conjointement le vote de 55 % des électeurs lors du référendum du 29 mai 2005, et qui, par l’irresponsabilité et le carriérisme de leurs dirigeants, ont mis la France à genoux ?
En revanche, s’il est un parti qui entretient des relations ambiguës avec l’UMP, c’est bien le Front National, qui essaie régulièrement, depuis des années, de nouer des alliances électorales avec l’UMP et d’acquérir de ce fait la respectabilité que lui refusent 80 % des électeurs.
Ainsi, au cours des tout derniers mois, et dans la perspective des élections municipales de 2014 :
– Jean-Marie Le Pen a indiqué qu’une « alliance du FN avec l’UMP est dans la logique du scrutin à deux tours » (entretien à 20 Minutes, 4 octobre 2012) ;
– La députée du FN Marion Maréchal-Le Pen a cosigné une proposition de loi présentée par plusieurs députés de l’UMP en janvier 2013 pour reconnaître officiellement le « génocide vendéen » entre 1793 et 1796 ; quelques semaines après, elle a appelé à des « alliances de circonstance » avec l’UMP (article du Monde.fr, 17 mars 2013) ;
– etc.
Face à la gravité des enjeux, la petite attaque politicienne du Front National révèle la profonde médiocrité de ses dirigeants.
Le Bureau National de l’UPR