Ayant dépassé les 6 000 adhérents 3 mois avant la date prévue en début d’année, l’UPR doit revoir sa croissance à la hausse
Communiqué
Ayant dépassé les 6 000 adhérents trois mois avant la date prévue en début d’année, l’UPR doit revoir fortement sa croissance à la hausse.
Lors de la présentation de ses vœux de début d’année aux adhérents et sympathisants, enregistrée le 8 janvier 2014, François Asselineau, Président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), avait textuellement déclaré : « Nous avions 2 158 adhérents le 31 décembre 2012, nous en avions 3 786 fin 2013 et si le rythme se poursuit, nous avons bon espoir d’atteindre 5 000, 5 500, ou 6 000 adhérents à la fin de l’année. »
(cf. à partir de 5’55”).
En réalité, malgré le silence absolu des grands médias :
- l’UPR a franchi le cap des 4 000 adhérents le 29 janvier 2014 (https://www.upr.fr/actualite/upr-parti-politique/29-janvier-2014-lupr-franchit-le-seuil-des-4000-adherents),
- l’UPR a franchi le cap des 5 000 adhérents le 12 mai 2014 (https://www.facebook.com/notes/fran%C3%A7ois-asselineau-union-populaire-r%C3%A9publicaine/12-mai-2014-lupr-vient-de-franchir-le-cap-des-5-000-adh%C3%A9rents/10152021179712038),
- et l’UPR vient de franchir le cap des 6 000 adhérents le 26 septembre 2014.
Malgré le décompte des quelques très rares démissions, l’Union Populaire Républicaine a donc franchi, dès le 26 septembre, l’objectif maximal de 6 000 adhérents qui n’était espéré au mieux que pour la fin de l’année. Au 27 septembre à 0h00, l’UPR comptait 6 012 adhérents.
Les évolutions constatées représentent une croissance de +59% en moins de 9 mois, et une moyenne de +8,3 nouveaux adhérents par jour.
Cette croissance extrêmement soutenue permet d’espérer que le nombre de nos adhérents atteigne 6 700 ou 6 800 au 31 décembre, soit 12 ou 13% de plus que le meilleur scénario envisagé en janvier.
Depuis des années, les gouvernements européistes, qu’ils se prétendent de droite ou de gauche, sont contraints de revoir dans un sens défavorable toutes leurs prévisions.
Tel n’est pas le cas de l’UPR, qui se voit heureusement contrainte, depuis plusieurs années, de revoir dans un sens toujours plus favorable ses prévisions de développement.
Ni le silence ni la calomnie ne parviennent à entraver si peu que ce soit la croissance de plus en plus rapide et irrésistible de l’UPR parmi nos concitoyens.