François Asselineau a été invité à un dîner privé à Kyoto avec un membre du cabinet japonais : S. Exc. Hiroshi Ando, promu il y a quelques jours Secrétaire d’État aux situations d’urgence.
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Le président de l’UPR a eu le très rare privilège d’être invité le vendredi 12 octobre 2018, par le professeur Satoshi Fujii de l’université de Kyoto, à venir dîner à son domicile kyotoïte en compagnie de Son Excellence M. Hiroshi Ando, membre du cabinet japonais.
Originaire du Kansaï, M. Ando est un membre éminent du Parti libéral démocrate (le PLD, parti du Premier ministre Shinzo Abe actuellement au pouvoir), était jusqu’à présent « Vice-ministre parlementaire au bureau du cabinet du PM et vice-ministre parlementaire chargé de la reconstruction » . Il a été nommé, il y a quelques jours à peine, Secrétaire d’État aux situations d’urgence.
Le dîner, auquel participaient également le professeur Keita Shibayama de l’université de Kyoto et le professeur Fumitaka Ogino de l’université Gakusei de Tokyo, n’est pas resté au stade purement protocolaire. Il a duré de 20h30 à 00h30 et a été d’un très grand intérêt politique et géopolitique.
Son Excellence M. Hiroshi Ando et le professeur Satoshi Fujii ont posé de très nombreuses questions à François Asselineau sur ses analyses concernant notamment l’impasse du néo-libéralisme et des politiques de rigueur et son appréciation de la politique économique japonaise. Ils l’ont aussi beaucoup questionné sur la situation politique française, le rôle des médias dans l’élection de Macron, l’histoire et le devenir de l’Union européenne, les suites du Brexit, la stratégie de l’Allemagne, le rôle des États-Unis et la viabilité de l’euro.
De son côté, le président de l’UPR a interrogé le ministre Ando et le professeur Fujii sur l’état de l’opinion publique japonaise et sur les rapports de force sur la scène politique de l’archipel, ainsi que sur les grandes données géopolitiques auxquelles est confronté le Japon (changements survenus depuis l’élection de Donald Trump, évolution de la Corée du nord, rapports avec la Russie et avec la Chine, etc.)
Les conversations ont été d’autant plus intéressantes qu’elles se sont déroulées dans un réel climat de franchise, de confiance et de grande estime réciproque.
François Asselineau a noté avec plaisir à quel point la notoriété de l’UPR est désormais établie au sein des cercles dirigeants japonais, où l’on porte attention à la fiabilité et à l’intérêt de ses analyses.
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François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine. La France doit se libérer de l’Union européenne, de l’euro et de l’Otan.