François ASSELINEAU a été invité par Nicolas STOQUER dans la matinale de GPTV

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L’entretien entre François Asselineau et Nicolas Stoquer s’est concentré sur l’élection du prochain pape après le décès du pape François, ainsi que sur des sujets connexes comme le rôle des médias, la situation économique française et les dynamiques géopolitiques. Le président de l’UPR (Union Populaire Républicaine), comme à son habitude, apporte une analyse détaillée et critique, marquée par son style érudit et sa volonté de libérer la France et de rendre leur destin aux Français.

Les grands thèmes abordés dans cet entretien sont au nombre de 3.

Élection du prochain pape : François Asselineau analyse le conclave, marqué par un clivage entre cardinaux progressistes et conservateurs. Il cite Pietro Parolin comme favori pour son profil centriste, mais mentionne d’autres candidats comme Robert Sarah (conservateur), José Tolentino de Mendonça (progressiste) ou Claudio Gugerotti (outsider).

Par ailleurs, François Asselineau dénonce les tentatives d’influence de Macron dont le favori serait un pape doté d’un profil « davosien », et note que le choix pourrait privilégier un Italien ou un Africain, reflétant des enjeux géopolitiques majeurs.

Crise des médias : Le président de l’UPR dénonce les médias mainstream (TF1, LCI, Le Monde) pour leur désinformation et leur financement par des fonds publics ou étrangers (ex. USAID). Il accuse des organes comme Conspiracy Watch de jouer un rôle de « police politique ». En parallèle, il salue la montée des médias alternatifs (UPR TV, GPTV), qui attirent un public croissant (ex. 1,5 million de téléspectateurs en moins pour France 2 en 4 ans), signe d’une société clivée et d’un climat prérévolutionnaire.

Crise française et solutions : La France, en chute libre selon François Asselineau, fait face à une dette explosive (4000 milliards d’euros d’ici 2027) et à des revers industriels (ex. contrat nucléaire perdu en Tchéquie). Il propose une sortie de l’UE et de l’OTAN, la suppression des régions, des aides aux entreprises et aux associations contournant la loi, ainsi qu’un retour au franc pour relancer l’économie. Critiquant l’inertie de Macron et Bayrou, il appelle à un réveil citoyen pour lequel les médias alternatifs doivent jouer un rôle prépondérant.


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