Malaise à France Inter quand un auditeur cite le nom de François Asselineau en direct

=== EXCLUSIF ! === LA VIDÉO DE 38 SECONDES QUI PERMET DE TOUT COMPRENDRE SUR LE VERROUILLAGE MÉDIATIQUE QUI TUE LA DÉMOCRATIE EN FRANCE.

Cette vidéo de 38 secondes doit être diffusée au plus grand nombre possible d’internautes car elle permet de tout comprendre du verrouillage médiatique total qui frappe l’UPR et toute proposition construite de sortir de l’Union européenne. Tout y est :
– la censure,
– la déformation volontaire des propos tenus,
– et l’arnaque du projet d'”autre Europe”.

La scène se passe sur France Inter le 15 novembre 2016 pendant l’émission matinale “7/9” de Patrick Cohen. Bruno Le Maire est l’invité du jour.

Alexandre, notre très dynamique militant de l’île de la Réunion, est parvenu à être sélectionné parmi les auditeurs retenus pour poser une question.

Voici la façon précise dont s’est déroulé ce bref échange :

– Alexandre : « Pour faire le Frexit, il faut avoir été élu clairement pour ça, sans aucune ambiguïté et ce n’est pas votre cas. Il n’y a qu’un seul candidat aujourd’hui qui propose clairement le Frexit, c’est François Asselineau. Vous pas du tout. Ce serait un référendum. Donc qu’est-ce que vous feriez si, malheureusement pour vous, le Frexit l’emporte ? »

– de façon comique, on distingue, au fond du studio, deux journalistes (ou deux accompagnateurs de Bruno Le Maire ?) qui sursautent brutalement en entendant citer François Asselineau, le responsable politique dont même le nom ne doit jamais être prononcé sur une antenne du service public….

– Patrick Cohen (France Inter), faisant semblant de n’avoir pas bien entendu, maquille immédiatement ce que vient de dire Alexandre en remplaçant à l’antenne le nom de Asselineau par le nom de Fillon (qui a le même prénom) : « Euh non, non, François Fillon ne…»

– Au même instant, la régie coupe l’accès d’Alexandre à l’antenne de France Inter : notre militant, privé de parole, ne peut donc pas dénoncer le tour de passe-passe de Patrick Cohen ni insister sur le fait que c’est bien de François Asselineau et non de François Fillon qu’il a voulu parler. Il est à noter que d’autres auditeurs ont pu dialoguer à l’antenne, sauf Alexandre dont l’accès a été immédiatement coupé.

– Le Maire (faisant semblant, lui aussi, de ne pas avoir compris le nom de “Asselineau”) : « Je crois que personne ne propose ça. Et Alexandre, d’abord bonjour à tous mes amis de la Réunion. Je n’ai jamais proposé de référendum sur la sortie de l’Union européenne. Il faut vraiment que les choses soient claires entre nous Alexandre. Ce que je propose, c’est que nous travaillions à un nouveau traité européen, qui permettra de clarifier les institutions européennes, de mieux définir les frontières… etc.»

——

Ainsi, le verrouillage médiatique a repris le dessus après une poignée de secondes de liberté.

Et Bruno Le Maire, en parfait domestique de l’oligarchie, débite un énième projet de renégociation des traités. Un projet d’Autre Europe – dont il sait bien qu’il est parfaitement inoffensif puisque totalement inapplicable – mais qui est la condition sine qua non pour pouvoir passer dans les grands médias.

Pigé ?