Vidéo enregistrée le 25 novembre 2020

Ce n’est un secret pour personne, les grands médias refusent de donner la parole ou de commenter les analyses du président de l’UPR.

Cette invisibilisation est volontaire. Elle a pour but d’occulter une offre politique qui devrait pourtant – si nous étions vraiment en démocratie – être présentée tout au contraire comme une alternative essentielle aux politiques actuelles.

Les récentes audiences des vidéos du candidat à la présidentielle de 2017 dépassent régulièrement 1 000 000, 1 500 000, 1 800 000 vues sur les réseaux sociaux. Elles sont 20 fois, 30 fois, 40 fois plus importantes que les audiences de certaines vidéos dites “virales”, relayées d’ailleurs à juste titre par la presse. Cette différence de traitements – tout à fait scandaleuse – ne fait que confirmer “le sale boulot” réalisé par les éditorialistes des grands médias.

François Asselineau compare ici le « merchandising » des supermarchés au référencement médiatique, car ils fonctionnent de la même façon : les produits qui rapportent le plus aux actionnaires sont ceux qui sont mis en avant, dans les rayons des hypermarchés comme dans les grands médias.

Comme au temps du CNR et de l’occupation allemande, il ne faut donc pas compter sur les médias français pour sortir la France du drame dans lequel elle s’enfonce jour après jour. C’est honteux, choquant, injuste et dramatique mais c’est comme ça.

C’est donc au peuple de s’émanciper de ces grands médias qui les hypnosent et de relayer les différents courants d’opinion. Autrement dit, de faire respecter le pluralisme que notre Constitution et plus généralement les Droits de l’homme posent comme principes essentiels de la République et de la démocratie et que tant de nos compatriotes, excédés, appellent de leurs vœux.