COLLOQUE PLACE D’ARMES IDF : INTERVENTION DE F. ASSELINEAU
1.
Ce discours totalement nouveau et très mobilisateur décrit d’abord les «4 angles morts» de tout débat sur le futur de l’Europe et de la France.
2°) QUI EST L’ENNEMI N°1 DE LA FRANCE ?
– «Nous disons que l’ennemi est l’ennemi» (De Gaulle) – «la France est en guerre et les Français ne le savent pas. Les Américains veulent un pouvoir sans partage sur le monde.» (Mitterrand)
2°) QU’EST-CE QUE L’EUROPE ?
– « Wer von Europa spricht hat Unrecht » (Bismarck) – Il ne peut pas y avoir de “Constitution européenne”, car les différentes langues d’Europe n’ont pas la même conception de départ de ce qu’est une Constitution !
3°) LES ÉVOLUTIONS ACTUELLES SONT-ELLES RAISONNABLES ET SOUTENABLES ?
•Dette publique •Démographie •Immigration •Élargissement •BRICS •Effondrement de l’Autorité
4°) NOS DIRIGEANTS SONT-ILS DE BONNE FOI ?
«Le Roi est bon mais il est mal conseillé.» Vraiment ?
2.
QUI CHOISIT LES DIRIGEANTS EUROPÉENS, DONT LES FRANÇAIS ? « L’armée la mieux aguerrie a encore un point faible : le général qui est à sa tête » (36 Stratagèmes chinois)
3.
LE DIABLE ET LE DOCTEUR FAUST •Les cases à cocher •Le verrouillage médiatique •Le verrouillage sondagier •Les fausses oppositions •Des «dossiers» permettant de «tenir» le Président
4.
CE QUI EST ATTENDU PAR L’OLIGARCHIE QUI TIENT LES MÉDIAS L’Obéissance des dirigeants qui ont intégré le fait qu’ils DOIVENT OBÉIR aux medias
tout candidat ultra-médiatisé sert le système, même et surtout lorsqu’il est présenté comme un opposant. Qui est la Meloni française ? Qui est le Viktor Orban français ? ===
CONCLUSION « QUE FAIRE ? » «Что дѣлать ?»«CHTO DIELAT ?» (Lénine) On assiste à l’inversion de la perception de l’extrémisme. Il faut : □ un réarmement moral □ choisir un dirigeant suprême qui soit -de bonne foi -toujours cohérent -doté d’une solide culture générale -avec une grande expérience professionnelle □ annoncer clairement que LA FRANCE A UN AVENIR à condition de – Sortir de l’UE – Sortir de l’euro – Sortir de l’OTAN – Poser les bases d’une République laïque “de tradition chrétienne”