FATV – Entretien avec Jean-Pierre Petit : en France, a-t-on le droit d’avoir « 40 ans d’avance » ?

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François Asselineau s’est longuement entretenu avec Jean-Pierre Petit. Ce scientifique français de 87 ans, en 2025, est une personnalité connue, mais controversée, les résultats de ses travaux de recherches étant jugés trop hétérodoxes par les milieux académiques français qui ont refusé de reconnaître la valeur de certains d’entre-eux.

Considéré comme un marginal en France, Jean-Pierre Petit dénonce le conservatisme des élites scientifiques, notamment le CNRS et l’Académie des Sciences, qui préfèrent les « consensus » aux innovations disruptives. Il critique la politisation et le manque de courage intellectuel de la recherche française. Des scandales récents, par exemples le projet Hello Quitte X ou le projet Lucie dans lesquels le CNRS était impliqué illustre ce problème.


Jean-Pierre Petit plaide pour une science plus audacieuse, capable d’examiner sans à priori les théories non-conventionnelles et de repenser les modèles en crise (ex. trou noire, matière noire). Tout au long de cet entretien, il retrace son parcours atypique qui lui a permis de combiner recherche scientifique et création artistique.

Concernant ses travaux scientifiques, il n’est pas exagéré de prétendre que Jean-Pierre Petit aura marqué son époque dans les domaines suivants :

Travaux sur la Magnétohydrodynamique (MHD)
Il a développé des technologies de propulsion MHD, permettant de supprimer les ondes de choc supersoniques. En France, ses travaux ont été ignorés ou sabotés par des rivalités institutionnelles. Elles ont été mieux accueillies en URSS. Les Soviétiques ont exploité ses découvertes, et aujourd’hui, la Russie a développé des missiles hypersoniques qui ont plusieurs d’années d’avance sur ce qui est fait, par exemple aux États-Unis.

Modèle cosmologique Janus
Jean-Pierre Petit a développé un modèle avec deux univers interconnectés, le modèle Janus. De récentes découvertes, par exemple de galaxies primordiales ou de structures lacunaires de l’univers, corroborent ses prédictions faites dès les années 1990. Ce modèle pourrait bouleverser la physique théorique et permettre des voyages interstellaires en manipulant les masses négatives.

Malgré les obstacles, Jean-Pierre Petit reste optimiste : son modèle Janus gagne en pertinence face aux impasses de la cosmologie standard. Il invite à une révolution scientifique, espérant que la France retrouve son esprit critique et son audace passée.

Affichant ouvertement son appartenance à l’UPR et son soutien à François Asselineau, Jean-Pierre Petit dresse un parallèle entre le conformisme qui sévit dans les milieux scientifiques et celui qui sévit dans les milieux politiques. Dans les deux cas, la voix des esprits libres qui apportent réellement quelques choses de novateurs sont étouffées.

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