Débat entre Pierre Gentillet (RN) et François Asselineau animé par Clémence Houdiakova sur Tocsin
Enfin un vrai débat sur le Frexit qui a permis à Pierre Gentillet, représentant le RN, et à François Asselineau, président de l’UPR, de confronter leurs stratégies sur l’Union européenne.
Pierre Gentillet, à l’instar d’Éric Zemmour, estime que l’identité prime sur la souveraineté et, conformément à la doctrine du RN, qu’il n’est pas nécessaire de sortir de l’Union européenne.
Depuis 18 ans, François Asselineau rassemble les bonnes volontés à gauche comme à droite, pour mener le combat du Frexit afin de rendre à la France les clefs de son destin et préserver son identité.
Pierre Gentillet prend acte de la perte de souveraineté de la France et assume d’entrer en conflit avec les autres États membres avant d’espérer pouvoir maîtriser l’immigration. Le moindre changement dans un traité nécessitant l’unanimité des 27 États membres, il reprend la rhétorique mélenchonienne de la désobéissance.
François Asselineau, fidèle à sa démarche pacifique et respectueuse des traités, affirme que la France doit avant tout retrouver sa souveraineté. La sortie de l’Union européenne est la condition indispensable pour permettre au peuple français de décider à nouveau par lui-même de son destin, sans avoir de rendre de compte à Bruxelles. Redevenu enfin libre et indépendante la France sera alors capable d’enrayer la submersion migratoire que les Français rejettent à plus de 70%.
In fine, la question posée dans ce débat par François Asselineau est : Pourquoi la France doit-elle rester dans l’Union européenne pour passer son temps à résoudre des problèmes qu’elle n’aurait pas si elle n’appartenait pas à l’Union européenne ?
Pierre Gentillet choisit de rester dans l’Union européenne et de s’investir dans des combats contre l’hydre communautaire.
François Asselineau a choisi depuis 18 ans, de redonner à la France son indépendance et aux Français la liberté de leur choix.
Sans l’Union européenne, la submersion migratoire n’existerait pas, et quand bien même elle existerait, les lois et les mesures pour l’endiguer pourraient être votées souverainement.