Les « oublis » révélateurs de Rudy Reichstadt et de Conspiracy Watch
Financés grassement par les contribuables et à leur insu, le dénommé Rudy Reichstadt et son officine Conspiracy Watch se sont autoproclamés “factcheckers” et détenteurs de la Vérité Officielle de la République française. Dans les faits, le travail de Rudy Reichstadt consiste à désigner telle personne ou tel site Internet à la vindicte médiatique en leur mettant une cible dans le dos sans le moindre débat contradictoire. Ce procédé de délation infamant s’inscrit dans le droit fil de la presse d’extrême-droite de l’entre-deux-guerres telle que “Gringoire” ou “Je suis partout” Entre autres basses besognes, Rudy Reichstadt vient de produire récemment une pseudo-scientifique et très prétentieuse “cartographie de la complosphère”, sous forme de nébuleuses aux couleurs acidulées. Il prétend traquer ainsi toute personne ou tout média sur les réseaux sociaux développant des théories “conspirationnistes” donc fausses et nuisibles. Toute personne et tout média ? Pas tout-à-fait. Certes l’UPR figure dans la nébuleuse des “Pro Kremlin” et “Anti-américains”, au.motif que nous remettons en cause, à juste titre, les narratifs officiels de l’oligarchie euro-atlantiste (sur la construction européenne, l’euro, l’OTAN, la destruction de Nordstream, la guerre en Ukraine, etc.) Mais l’examen attentif de ces nébuleuses réserve de sacrées surprises ; – Zemmour et ses collaborateurs n’apparaissent nulle part, et notamment pas dans la nébuleuse censée traquer les “anti-islam” et théoriciens du Grand Remplacement ! – Philippot n’apparaît nulle part non plus, et notamment pas dans la nébuleuse censée traquer les “anti-covidistes” “anti-masques” et “anti-vax” ! – Idem pour Dupont-Aignan ! Dans cette vidéo, François Asselineau tire des enseignements très intéressants de ce constat incroyable : pourquoi bigre Rudy Reichstadt a-t-il classé l’UPR dans sa prétendue “complosphère” et a-t-il délivré un sauf-conduit à Zemmour, Philippot et Dupont-Aignan ? Comprendre pourquoi permet de comprendre qui, aujourd’hui en France, porte la véritable opposition à l’hégémonie américaine.