François Asselineau s’est entretenu successivement avec Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris et président du Conseil français du culte musulman, et avec Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon.
Comme l’enseigne le dicton qui résume le principe de laïcité posé par la loi de 1905, « la République connaît tous les cultes mais n’en reconnaît aucun ». La laïcité ne doit donc pas être excessive ni intolérante, elle ne doit pas ignorer le fait religieux mais doit pratiquer une stricte séparation de l’État et des cultes.
Cela signifie qu’en France, un homme d’État ou un responsable politique national ne doit favoriser aucune religion mais doit rencontrer et dialoguer avec des représentants des différentes religions présentes sur le sol national. Et cela dans le but, notamment, de recueillir leurs avis et leurs demandes, et de se tenir informé des évolutions sociétales. Président d’un parti républicain respectant le principe de laïcité, François Asselineau tient à appliquer les préceptes qui viennent d’être rappelés. C’est pourquoi il a entamé une série d’entretiens avec des responsables religieux de premier plan.
Au cours des semaines écoulées, il s’est entretenu de façon approfondie avec
– Dalil Boubakeur, recteur de la Mosquée de Paris et président du Conseil français du culte musulman (CFCM) (à gauche sur la photo) ;
– Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, nommé en en 2012, par le Pape Benoît XVI, membre du Synode romain sur la nouvelle évangélisation, puis nommé consulteur du Conseil pontifical pour les laïcs le 6 février 2014 par le pape François (à droite sur la photo).
Nous aurons l’occasion de diffuser ultérieurement des captations vidéos de ces entretiens.
Des entretiens avec des représentants d’autres cultes sont en cours de programmation.
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Photos prises par Romain Justo, attaché de presse et chargé de relations publiques.
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François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine. La France doit se libérer de l’Union européenne, de l’euro et de l’Otan.