Communiqué de presse : l’UPR, nouveau CNR, est seule capable d’accueillir en même temps d’anciens cadres et électeurs de FI et du FN.
RÉSUMÉ :
En accueillant à quelques jours d’intervalle une ancienne cadre locale de FI, ex-candidate aux législatives 2017 à Soissons (Aisne), et un ancien cadre local du FN, actuel conseiller municipal sans étiquette de Saint-Omer (Pas-de-Calais), l’UPR confirme sa capacité de large rassemblement en dehors du clivage droite-gauche dans le but de rétablir la souveraineté de la France en mettant en œuvre le Frexit.
L’UPR, qui est la seule force politique française capable de réaliser un pareil tour de force, s’apparente ainsi bel et bien à ce que fut le Conseil national de la Résistance de 1943-1944.
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TEXTE :
À quelques jours d’intervalle, Sylvie Heyvaerts, ancienne responsable de la France insoumise (FI) dans la région de Soissons et ex-candidate de ce parti aux élections législatives de 2017, et Quentin Bourgeois, conseiller municipal d’opposition à Saint-Omer et ancien responsable local du FN ont annoncé leur ralliement à l’Union populaire républicaine (UPR).
- Sylvie Heyvaerts a exposé les raisons de son choix sur Facebook le 7 mars (voir ici) et au cours d’un entretien avec François Asselineau (voir ici) ainsi que dans la presse (voir ici).
- Quentin Bourgeois, pour sa part, a communiqué son choix le 19 mars aussi sur Facebook (voir ici) et dans la presse (voir ici) après mûre réflexion.
L’un et l’autre ont fait connaître leur disponibilité pour participer activement à la campagne de l’UPR pour les élections européennes.
L’UPR se félicite de rassembler ainsi des personnes issues d’univers politiques aussi différents et a priori irréconciliables.
Ce véritable tour de force – que seule l’UPR est capable de réaliser – rappelle exactement l’esprit de rassemblement et d’union nationale du Conseil national de la résistance de 1943, CNR qui accueillait en son sein des communistes, des socialistes, des chrétiens-sociaux, des gaullistes, des “patrons et des ouvriers”, et aussi des membres de la Cagoule.
Ces ralliements confirment la capacité de l’UPR à transcender le clivage droite – gauche et à mettre provisoirement de côté les divergences qui existent entre les Français, pour se concentrer sur l’essentiel : le rétablissement de l’indépendance nationale et la restauration de la démocratie, par la sortie de l’UE et de l’euro (Frexit) que nous proposons sans jamais faillir ni nous contredire depuis 12 ans.
Comme le comprennent de plus en plus de Français, cet objectif primordial pour notre avenir et celui de nos enfants passe par une hiérarchisation des priorités : rien n’est possible – et en particulier aucune des demandes des « gilets jaunes » en matière sociale et démocratique ne peut être exaucée – sans, d’abord, quitter l’Union européenne, l’euro et l’OTAN.
Les ralliements de Sylvie Heyvaerts et de Quentin Bourgeois à l’UPR ne sont que la partie la plus visible du phénomène en cours. Notre mouvement engrange en effet actuellement une moyenne de plus de 30 adhésions quotidiennes, qui proviennent de tous les horizons politiques, et en particulier d’anciens électeurs de FI et du FN/RN.
Cette évolution témoigne que les masques de FI et du RN commencent à tomber : ces partis politiques, qui protestent sur tout mais qui refusent bec et ongles le « Frexit », jouent en réalité un rôle de faux opposants, qui stérilise le vote des Français et qui conduit à conforter l’oligarchie qui a mis notre pays en coupe réglée.
C’est un constat à la fois très réjouissant et très important politiquement de voir de plus en plus de Français comprendre cette mystification politique et se décider à rallier l’UPR par dizaines chaque jour.
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François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine. La France doit se libérer de l’Union européenne, de l’euro et de l’Otan.