François Asselineau dénonce l’annulation du débat de France 2 qui devait se tenir le 20 avril
Communiqué
Le débat qui s’est tenu hier soir, le 4 avril, sur BFM TV et CNEWS a montré aux Français qu’il y a 11 et non pas 5 candidats qui se présentent à l’élection présidentielle.
Les échanges, riches et de bonne tenue, ont fait apparaitre au grand jour que François Asselineau est bel et bien le seul candidat du « Frexit », les 10 autres candidats proposant simplement de renégocier les traités européens, en faisant miroiter aux électeurs une chimérique « autre Europe ».
François Asselineau a pu exposer aux Français que toute modification des traités européens nécessite l’accord unanime des 28 gouvernements, représentant les 28 États membres, et de l’accord unanime des 28 peuples, soit par référendum, soit par un vote parlementaire.
Cela signifie que 56 accords unanimes et conformes sont nécessaires pour modifier les traités européens. Dès lors, il est apparu clairement à nos concitoyens qu’il ne peut y avoir, et qu’il n’y aura jamais, une « autre Europe ».
François Asselineau a pu exposer également aux Français que leur gouvernement est tenu d’appliquer les « Grandes orientations de politique économiques » (GOPE) fixées par la Commission européenne, en application de l’article 121 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, et cela indépendamment des choix électoraux des Français.
Les Français ont pu découvrir que les GOPE pour l’ensemble de l’année 2017 – qui s’imposeront donc au président de la République élu en mai, sauf si c’est François Asselineau – organisent l’uberisation généralisée et la paupérisation de la société française, via notamment :
- La baisse des dépenses publiques,
- La diminution de la protection sociale,
- La réduction du salaire minimal,
- Le démantèlement du droit du travail,
- Le démantèlement des professions réglementées,
- La baisse de l’impôt sur les sociétés,
- L’augmentation de la TVA,
- La suppression de l’ISF.
Les 10 autres candidats sont restés silencieux face à l’argumentation développée par François Asselineau, s’agissant de l’impossibilité de renégocier les traités européens, et s’agissant des « Grandes orientations de politique économique » qui rendent les élections caduques tant que la France reste dans l’Union européenne.
La prestation de plusieurs candidats, qualifiés par certains médias de « grands candidats », est apparue, hier, terne et insipide. A contrario, la prestation de François Asselineau a été saluée par de nombreux internautes dans différents sondages en ligne. Par exemple, dans la consultation organisée par LCI, François Asselineau est arrivé en tête, avec 32% des suffrages.
La contre-performance de plusieurs « grands » candidats, qui saturent l’espace médiatique depuis des semaines, a conduit ces derniers à annuler, aujourd’hui même, leur participation au débat organisé par France 2 le 20 avril prochain.
Ils piétinent ainsi l’engagement qu’ils avaient pris vis-à-vis de France 2 et refusent d’offrir au peuple français le débat auquel il a légitimement droit pour se déterminer. Un débat était manifestement déjà trop pour eux.
François Asselineau, pour sa part, avait accepté le principe du débat du 20 avril et se voit contraint d’accepter le nouveau format proposé par France 2, qui consistera en une succession de petits entretiens avec chacun des candidats. La chaine du service public se retrouve ainsi prise en otage par quelques candidats apeurés par la perspective de débattre, à nouveau, devant les Français.
Si les candidats qualifiés de « grands » par certains médias ont peur de débattre avec les candidats qualifiés de « petits » par ces mêmes médias, on peut imaginer la terreur qui s’emparerait d’eux s’ils devaient défendre les intérêts de la France face à Donald Trump, Angela Merkel, Xi Jinping ou Vladimir Poutine.
François Asselineau fait confiance aux Français pour tirer les enseignements de cette piteuse dérobade des candidats qui se jugent au-dessus de la confrontation démocratique, et qui méprisent les milliers d’élus qui ont parrainé les 6 autres candidats ainsi que leurs centaines de milliers d’électeurs.