Les promesses d’« autre europe » balayées deux jours après la farce des élections européennes
Communiqué
Deux jours seulement après le scrutin européen du dimanche 25 mai 2014, Angela Merkel a balayé la demande formulée par François Hollande lundi soir de « réorientation » de l’Europe.
La position sans appel de la chancelière allemande prouve une nouvelle fois que les promesses d’« autre Europe », avancées par tous les partis politiques français – sauf l’Union Populaire Républicaine (UPR) – sont impossibles et mensongères.
La mise au point d’Angela Merkel montre aussi à quel point la campagne des élections européennes en France a été conduite comme une farce. Les débats ont systématiquement porté sur des projets d’« autre Europe » et jamais sur leur impossibilité. Ils n’ont pas porté davantage sur le principe même de la « construction européenne », que seule l’UPR conteste.
L’UPR n’a été admise à présenter ses analyses que dans quelques médias, à la sauvette et dans les tout derniers jours, pour des passages uniques compris entre 30 secondes et 4 minutes. Le nom et l’existence même de l’UPR n’ont d’ailleurs jamais été portés à la connaissance du public de la plupart des grandes télévisions et des grands journaux et magazines nationaux.
Cependant, cette démocratie pour rire prend l’eau de toute part car les déclarations de la chancelière allemande confirment de façon éclatante que l’UPR est le seul mouvement à avoir dit la vérité aux Français. Cela se sait sur les réseaux sociaux et l’UPR bénéficie à plein d’un « bouche-à-oreille » toujours plus puissant.
Les 77.136 électeurs qui ont fait confiance à l’UPR le 25 mai 2014 sont galvanisés dans leurs convictions et constituent le ferment du vaste mouvement de libération qui, tôt ou tard, va balayer la tyrannie euro-atlantiste.