Suite à notre mise en demeure envoyée à la rédaction, Le Figaro vient de modifier le titre mensonger de son article
Le Figaro a enfin fait machine arrière, en modifiant son titre mensonger dans l’article mentionné dans le précédent message. (mais l’ancien titre reste dans l’URL de l’article…)
Cette modification est datée du 19 mars à 09h30 selon le Figaro mais nous ne l’avons constatée qu’à 09h50.
Elle fait indéniablement suite au torrent de protestations adressées par des lecteurs du Figaro – pour la grande majorité favorables à l’UPR et ayant parfaitement compris la manœuvre diffamatoire.
Elle fait également suite à la mise en demeure que nous avons adressée à la rédaction en chef du journal ce matin.
Nous avons également demandé que le Figaro accepte enfin de m’accorder un entretien au sujet de l’UPR, qui n’a pas fait l’objet d’une seule ligne dans ce “quotidien d’informations” depuis notre création il y a 8 ans, et alors que nous avons désormais 50% d’adhérents de plus que EELV.
À ce propos, l’article fait toujours état d’un “petit parti” en mentionnant l’UPR, reprenant ainsi la formulation de l’AFP.
Mais, si l’UPR est un “petit parti”, comment le Figaro et l’AFP qualifient-ils donc EELV, ou le NPA, qui a 3,5 fois moins d’adhérents que nous et que nous avons battu en nombre de suffrages aux élections européennes ?
Cette volte-face du Figaro – qui sort discrédité de son opération diffamatoire – confirme ce que j’ai toujours dit. À savoir que le moment va venir où le nombre de plus en plus impressionnant de nos adhérents et de nos militants, joint à Internet et aux réseaux sociaux, va finir inéluctablement par briser le mur du silence médiatique qui nous est opposé.
Ce que révèlent cette retraite en rase-campagne du Figaro, ou la manipulation ratée de TV-TOURS, c’est que les rédacteurs en chef des très grands médias, tout comme les dirigeants du FNUMPS et leurs spécialistes des coups fourrés avec lesquels ils sont en contact étroit, n’ont en fait pas compris les implications politiques de la révolution Internet.
Tout ce petit monde croit que les vieilles recettes et les grosses ficelles fonctionnent encore. Qu’il suffit au FN de traiter l’UPR de “sous-marin de l’UMP” ou à l’UMP et au PS de qualifier l’UPR “d’extrême droite” pour que tous les électeurs le croient.
Nos diffamateurs n’ont pas encore réalisé qu’Internet agit comme un sérum de vérité, comme un formidable outil à démasquer le mensonge.
Les grands médias ont beau mentir effrontément sur le positionnement politique de l’UPR, ont beau nous classer sur une “liste noire” imposant l’omerta, ils ne pourront plus tenir encore bien longtemps dans le déni de la réalité et devant la mobilisation sur les réseaux sociaux qui démasquent leurs mensonges au vu et au su de tous.
Les grands médias pourront d’autant moins continuer à faire silence ou à diffamer l’UPR qu’un nombre grandissant de journalistes – y compris dans ces grands médias – regardent avec beaucoup, beaucoup de sympathie les analyses et les propositions de l’UPR…. Tout simplement parce qu’elles sont exactes, sereines, cohérentes, précises, justes, et conformes à ce dont a besoin urgemment la France.
François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine. La France doit se libérer de l’Union européenne, de l’euro et de l’Otan.