William Douet conduira la liste de l’UPR dans la région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
Âgé de seulement 23 ans, adhérent UPR depuis bientôt 2 ans, vivant à Bordeaux, William Douet est le plus jeune de toutes nos têtes de liste pour les élections régionales de décembre 2015.
Au-delà de ses qualités personnelles – qui sont grandes -, de ses qualités de débatteur et de sa maturité – remarquables pour son âge -, le Bureau national a retenu sa candidature pour refléter le grand nombre de jeunes adhérents que compte notre mouvement. L’UPR compte actuellement 1850 adhérents de moins de 30 ans, soit près de 22% de l’ensemble.
Né à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine) le 30 mai 1992, d’un père gestionnaire dans une grande entreprise industrielle et d’une mère assistante administrative, William s’est orienté vers une classe préparatoire économique commerciale scientifique (ECS) à l’issue de son baccalauréat scientifique.
Cette formation, connue pour sa difficulté et sa charge de travail, a renforcé son sens de la discipline et affûté ses capacités de travail, de concentration et de réflexion. Très curieux de nature depuis le plus jeune âge, William a cette qualité éminente de ne pas se contenter du « prêt-à-penser ». Il aime creuser les sujets jusqu’à ce qu’il trouve une réponse convaincante, en veillant à clarifier chaque zone d’ombre.
C’est dans cette perspective que William Douet a choisi, en 2011, de s’inscrire en licence d’économie afin de chercher des réponses aux évènements de la crise des « subprimes » (2007-2008), qui avait ébranlé les États-Unis pour se propager au reste du monde en quelques mois.
Formaté dès l’enfance pour être un « Européen convaincu », ne disposant d’aucune information contraire, William Douet a commencé comme tout le monde par croire au conte de fées sur la « construction européenne » qui nous est servi depuis la prétendue Déclaration Schuman de 1950. Mieux encore, il a profité de ses études supérieures pour saisir l’occasion, offerte par le fameux « programme européen Erasmus », de poursuivre sa formation dans un autre pays de l’Union européenne. Il s’est agi en l’occurrence de… la Suisse, qui n’est justement pas membre de l’Union européenne ! Preuve au passage qu’un État peut rester souverain et indépendant, en dehors de l’UE, sans pour autant boucler ses étudiants à domicile comme la Corée du nord.
Quoi qu’il en soit, William Douet a ainsi suivi, pendant plusieurs mois, des cours à Berne et à Fribourg. Et c’est dans le cadre de cette scolarité que l’un de ses professeurs lui demanda un jour de réaliser, pour les autres étudiants, un exposé sur l’euro, son fonctionnement et les problèmes qui commençaient à se poser avec acuité en Grèce.
Conformément à son caractère, le jeune William s’est alors livré à de nombreuses recherches sur Internet, en les menant sans a priori, pour tenter de bien comprendre d’où venaient les problèmes de la Grèce et de l’euro.
Et c’est ainsi qu’il a découvert, tout-à-fait par hasard, mes deux conférences (« Faut-il avoir peur de sortir de l’euro ? » et « La tragédie de l’euro ») , qui traitaient du cœur même de l’exposé qu’il était chargé de faire. Par la même occasion, il a découvert un mouvement politique nouveau – l’UPR – dont il ne soupçonnait même pas l’existence puisqu’il n’en avait jamais entendu parler nulle part.
Frappé par les informations sourcées et les arguments, aussi inédits que percutants, développés dans ces conférences, déstabilisé par la démonstration qui les sous-tend et qui se fonde toujours sur des faits concrets et irréfutables, William a alors décidé d’approfondir ses recherches, une fois l’exposé passé.
Et c’est ainsi que, sans l’avoir jamais voulu mais fidèle à sa quête de la vérité en toute chose, il a approfondi sa découverte de l’UPR, lu sa charte, réfléchi à ses analyses et à ses propositions… pour finalement se décider à adhérer début 2014.
Pour un étudiant brillant, suivant un cursus tout-à-fait conforme aux valeurs de notre époque, un tel choix n’était pas évident. Car, dans le cadre de ses études, William s’est spécialisé « en économie banque et finance » à l’Université de Bordeaux et a effectué des stages au sein de deux importants groupes bancaires, tout en les ponctuant de petits boulots afin de gagner un peu d’argent et de se professionnaliser.
Dans un tel contexte, avouer publiquement que l’on a adhéré à l’UPR et le faire savoir à son entourage familial et d’amis est un acte plus courageux et hélas moins fréquent qu’on ne croit. Si de plus en plus de gens commencent à comprendre que les analyses de l’UPR sont les bonnes et qu’il faut vraiment se rassembler dans ce mouvement de libération nationale, bien peu osent encore le faire en bravant l’intimidation médiatique et universitaire de notre temps.
La peur du “qu’en-dira-t-on” n’a pas impressionné William : parallèlement à son cursus, il a fait preuve bien au contraire, depuis son adhésion, d’une grande assiduité aux réunions mensuelles organisées par l’UPR-Gironde. Il a pris un plaisir non dissimulé à prendre la parole, lors de conférences animées par des européistes convaincus. À plusieurs reprises, avec politesse et brio, William est ainsi parvenu à laisser bouche bée des responsables politiques ou des intellectuels connus, incapables de répondre de façon convaincante aux arguments de l’UPR.
Dans la foulée, William Douet s’est investi lors de la campagne des élections départementales de 2015, où il a notamment participé activement à l’élaboration d’argumentaires pour le compte des candidats.
Ainsi donc, et bien qu’il termine cette année son Master 2 professionnel par un stage dans une grande banque nationale, William a décidé de faire passer ce qu’il pense être la vérité, la justice, l’efficacité et le bon sens avant toute autre considération pusillanime d’obéissance au Dogme européiste. Il pense qu’il faut mettre en œuvre au plus vite la vision alternative de l’UPR, tout en renforçant la compétitivité de filières clés de l’économie française et le service du financement des PME dont il est convaincu qu’elles portent l’innovation et l’économie de la France de demain.
En parallèle, il participe d’ailleurs très concrètement aux travaux de la Jeune Chambre Économique de Bordeaux, branche locale de la Jeune Chambre Internationale, afin de promouvoir les PME régionales.
Ajoutons à tout cela que William est un sportif accompli, que son intérêt pour les cultures et les actualités étrangères l’a amené à faire déjà de nombreux voyages sac à dos à travers le monde, et qu’il met en haut de ses valeurs personnelles l’intégrité, l’ouverture d’esprit, le travail en équipe, la recherche de l’excellence et de la vérité.
Toutes ces qualités ont conduit le Bureau National à lui faire confiance pour qu’il relève le défi d’être notre tête de liste aux élections régionales de décembre 2015 dans la grande région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes.
En notre nom collectif, je lui souhaite bonne chance, à lui et à toute son équipe de candidates et de candidats, pour qu’il fasse grimper de façon substantielle la notoriété et les résultats de notre mouvement.
François Asselineau
NOTA : La liste pour les élections régionales Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes doit comprendre 207 candidats, dont 104 hommes et 103 femmes. La liste de l’UPR est complète pour les candidats mais il manque encore 11 candidates.
Ce problème devrait être réglé dans les jours qui viennent. Toute adhérente ou sympathisante de l’UPR inscrite sur les listes électorales dans la région intéressée peut bien entendu nous contacter, sans engagement, pour nous proposer sa candidature en écrivant à : http://www.upr.fr/nous-contacter
François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine. La France doit se libérer de l’Union européenne, de l’euro et de l’Otan.