25 mars 2007 – 25 mars 2014 : l’Union Populaire Républicaine (UPR) fête aujourd’hui son 7e anniversaire et son 4 400e adhérent
25 mars 2014 : cela fait aujourd’hui 7 ans, jour pour jour, que j’ai créé l’UPR. C’était par un dimanche après-midi gris et pluvieux. Une quarantaine de personnes avaient bien voulu se réunir dans le gymnase de la Porte Pouchet à Paris pour approuver la Charte fondatrice que je leur proposais.
Parmi la centaine de journalistes politiques que j’avais conviés à cet événement, pas un seul n’était venu. Il n’y eut pas un seul écho de presse, ni télévisé, ni radiophonique, ni dans la presse quotidienne ou hebdomadaire.
Mme Marie-France Garaud, que j’avais personnellement priée de venir pour donner une onction “gaullienne” et un peu d’éclat à cette manifestation, m’avait refusé tout concours, en m’assurant que créer un nouveau parti était chose absurde et que je n’arriverais “à rien”. Tel était d’ailleurs l’avis unanime de tout mon entourage professionnel et amical : cette création était ridicule, ne mènerait à nulle part, et d’ailleurs mes analyses étaient, paraît-il, “excessives”, ou carrément erronées.
Les débuts de l’UPR furent ainsi affreusement décourageants. Neuf mois après sa création, le mouvement ne comptait que 47 adhérents, dont une partie n’avait d’ailleurs adhéré que par sympathie à mon égard ou par entrisme, mais sans conviction quant au fond même de nos analyses et de nos objectifs.
Nous voici aujourd’hui, en ce 25 mars 2014, sept ans jour pour jour après cet acte de naissance laborieux.
Je ne me prononcerai pas sur le point de savoir si le chiffre 7 porte bonheur, comme le veut en général la tradition dans la plupart des civilisations du monde. Mais force est de constater que nous pouvons collectivement marquer une brève pause pour regarder avec satisfaction le chemin parcouru, malgré l’adversité.
Le hasard a voulu qu’en ce 7e anniversaire de l’UPR, nous venions de franchir le cap des 4 400 adhérents. Cela représente quasiment 100 fois plus d’adhérents qu’au 31 décembre 2007.
Quant aux sympathisants, ils se comptent désormais par dizaines de milliers.
En ce même jour de 7e anniversaire, notre page Facebook a franchi le cap symbolique des 20 000 “J’aime”. Pour mémoire, je signale que cette page ne fut créée qu’en mars 2010 et qu’elle ne comptait encore que 1259 “J’aime” au 1er janvier 2011. Je signale aussi qu’à la différence d’un certain nombre de responsables politiques sans foi ni loi, nous n’avons jamais dépensé le moindre centime pour “promouvoir” cette page sur Facebook ni pour acheter des “J’aime”.
Sur cette même page Facebook, nous venons d’ailleurs, toujours en ce 7e anniversaire, de battre un nouveau record absolu, avec “5 738 personnes qui en parlent”. C’est la preuve du dynamisme, de l’espoir, et de la Vie politique que nous sommes en train de faire ressusciter collectivement.
À vrai dire, l’UPR me donne de plus en plus le sentiment d’une machine sur le point de s’emballer.
Le nombre d’adhérents continue de croître de façon quasi-exponentielle, ce qui est du jamais vu pour un mouvement barré de tous les médias de grande diffusion français.
Cette omerta médiatique elle-même, qui semble, ici ou là, sur le bord de céder, ne scandalise pas seulement les Français qui nous apprécient, mais aussi un nombre croissant d’observateurs étrangers, et notamment des médias.
En bref, si la voie de notre essor national n’est pas encore totalement libre, elle ne cesse de s’éclaircir, jour après jour. Tant il est vrai que la vérité finit toujours par l’emporter sur le mensonge.
En ce 25 mars 2014, j’adresse un immense remerciement, en notre nom collectif, à toutes celles et à tous ceux qui nous ont rejoints et qui contribuent, inlassablement, jour après jour, à faire connaître notre existence, nos analyses et nos propositions. C’est grâce à eux que l’UPR se développe si vite.
Les semaines qui viennent vont marquer une nouvelle progression de notre notoriété et de notre impact sur la scène politique française, grâce à notre participation aux élections européennes du 25 mai 2014.
Plus que jamais, l’heure de la mobilisation a sonné : l’incroyable chemin parcouru depuis 7 ans est là pour nous donner beaucoup d’ardeur pour cette campagne électorale qui arrive.
Il nous prouve aussi que l’on a décidément toujours raison d’avoir foi en la France.
François Asselineau