«LE MONDE» DEVIENDRAIT-IL ANTI-EUROPÉEN ? Son numéro du 28 novembre 2017 publie 2 révélations de taille.
Le vent serait-il en train de tourner ?
En tout cas, le journal “Le Monde” – le “quotidien de référence” lu par les dirigeants du monde politique et administratif et par beaucoup d’enseignants – diffusé à Paris le 27 novembre 2017 après-midi et daté du 28 novembre, affiche à sa “Une” deux révélations assez sensationnelles. Des révélations qui lui auraient valu d’être taxé de “complotiste” s’il les avait publiées pendant la campagne présidentielle…
1°) Le Brexit va priver l’UE de 10 milliards d’euros de recettes par an et rapporter autant aux Britanniques !
Le grand titre de la “Une” indique : “Brexit, migrants, défense : pourquoi l’Europe doit faire de lourdes économies”.
Et en plus petits caractères, on découvre que “le Brexit laissera un trou de 10 milliards d’euros par an”.
Sans crier gare, le journal “Le Monde” rend ainsi publique une information de toute première importance. Il avoue implicitement que, contrairement à la propagande qu’il a propagée depuis des mois à l’unisson des grands médias français, la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne ne va pas coûter une fortune aux Britanniques mais… à l’Union européenne elle-même !
Il informe que la contribution nette du Royaume-Uni à l’Union européenne, telle qu’elle apparaît désormais clairement dans les esquisses budgétaires de l’UE, s’élevait au montant colossal de 10 milliards d’euros par an. Autant d’argent annuel que ne vont plus payer les contribuables britanniques !
Cela permet au passage d’anticiper les économies encore plus colossales que les Français réaliseront lorsqu’ils auront fait sortir la France de l’Union européenne. Pendant la campagne présidentielle, je fus le seul candidat à le dire et à évaluer la contribution nette de la France à l’UE à un montant de 8 à 9 milliards d’euros par an, tandis que j’évaluais celle du Royaume-Uni à un montant de 7 à 8 milliards d’euros par an.
Or, il apparaît que la contribution nette du Royaume-Uni était de 10 milliards d’euros par an, soit un montant sensiblement supérieur (de l’ordre de 30%) à ce que l’on trouvait dans les rares informations disponibles.
Comme je l’ai maintes fois expliqué, le prétendu “terrible coût de sortie de l’Union européenne” pour le Royaume-Uni n’était qu’un vil mensonge de la propagande. Il s’effondre sous nos yeux et constitue un nouveau revers pour la mafia européiste qui a transformé nos grands médias en instruments de désinformation massive.
Cette information donne aussi à penser que la contribution nette de la France, une fois les maquillages de chiffres dissipés, est peut-être plus de l’ordre de 11 à 12 milliards d’euros par an que de 8 à 9.
Le Frexit économisera sans doute 11 milliards d’euros par an aux contribuables français, et cela rien qu’en coûts directs ! C’est bien la seule issue pour sortir la France du naufrage économique et financier.
2°) Les institutions européennes complices de Monsanto pour la “manipulation de la science”.
Sur la même “Une” du journal Le Monde du 28 novembre 2017, on apprend que l’herbicide “glyphosate” produit par Monsanto est un “scandale européen” et le quotidien français précise que, selon ses informations, “l’agence officielle européenne a jugé que l’herbicide n’était ni toxique ni cancérogène en recopiant des données fournies par Monsanto”.
On apprend aussi que “les Monsanto papers, ces milliers de documents rendus publics par la justice américaine permettent de reconstituer le récit de décennie de manipulation de la science”.
Je me rappelle que, pendant la campagne présidentielle, lorsque j’évoquais le poids de Monsanto (notamment) au sein de la Commission et des institutions européennes, il se trouvait des journalistes à la botte pour me traiter de “complotiste” et de “conspirationniste”…
Conclusion : des informations à faire circuler au maximum
En conclusion, j’invite toutes les lectrices et tous les lecteurs du site de l’UPR à répercuter le présent article et les informations du journal Le Monde.
Mieux qu’un long discours, ces révélations permettent de démonter la propagande et les mensonges des européistes, et de jeter une lumière crue sur la lâcheté des autres responsables politiques.
Chaque semaine qui passe prouve que seule la sortie de l’Union européenne permettra à la France de redresser ses finances publiques et de veiller à sa santé publique.
François Asselineau
27 novembre 2017
François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine. La France doit se libérer de l’Union européenne, de l’euro et de l’Otan.